Elle se comportait comme la plus majestueuse cataracte.
En touchant le vide, en s'y abîmant,
elle se perdait aussi d'un bond,
développait la même courbe liquide, irisée,
et rendait ce mugissement éternel et égal,
unique dans les bruits de la nature...
Pesquidoux, Le Livre de raison, 1925.
lundi 5 mai 2008
La cascade du tengu,
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