Les rizières si lojn perchées tu contempleras,
Les temples si loin cachés tu découvriras.
mercredi 31 décembre 2008
mardi 30 décembre 2008
lundi 29 décembre 2008
dimanche 28 décembre 2008
Kirishima, Kobayashi,
Au sanctuaire tu t'arrêteras,
Du lac Oonami la légende tu écouteras,
Et chez Ijuine san tu te reposeras.
samedi 27 décembre 2008
Amami Oshima fin.
Au lever du soleil le panorama tu découvriras,
Dans les eaux turquoises tu te délasseras,
Dans la primitive Kinsasubaru tu ne te perdras pas...
vendredi 26 décembre 2008
jeudi 25 décembre 2008
Amami Oshima.
Nazé tu arpenteras,
chez Isson Tanaka tu t'arrêteras,
vers le Nord, les panoramas et les couleurs coraliennes tu admireras...
mercredi 24 décembre 2008
mardi 23 décembre 2008
lundi 22 décembre 2008
dimanche 21 décembre 2008
samedi 20 décembre 2008
vendredi 19 décembre 2008
Au café de Yoko,
Je connais un petit bistrot, un bois et charbons,
où le bonheur et le pittoresque se conçoivent encore.
Fargue, Le Piéton de Paris, 1939
jeudi 18 décembre 2008
mercredi 17 décembre 2008
Le Kalaso koloso des getas...
Quand les femmes défilent sur les estampes du Nippon,
nous ne savons pas bien si c'est l'été ou l'automne ou l'hiver traversés
qui font pleuvoir sur leurs kimonos de soie leurs fleurs,
leurs feuilles mortes ou leurs flocons tourbillonnants,
ou si c'est la marche même de ces créatures lointaines
qui répand autour d'elles l'hiver ou l'automne ou l'été.
Faure, Histoire de l'art, 1912
mardi 16 décembre 2008
lundi 15 décembre 2008
Je n'ai pas la main verte...
Malgré tous mes essais, malgré les indécents potagers de ma lignée...
Échecs enfin acceptés, et plus rassurée:
tous ces bouquets aux mains autres que vertes sont destinés.
dimanche 14 décembre 2008
samedi 13 décembre 2008
Merci Em, J., C.
Nous venions de nous mettre à table
dans la petite salle à manger
que notre gargotier Barbichon
nous réservait dans sa guinguette.
Maupassant, Contes et nouvelles, 1884.
vendredi 12 décembre 2008
Lessives d'hiver.
Comme il ne bougeait toujours point, elle se leva,
prit un paquet de linge lavé et tordu, et se mit à l'étendre (...)
elle s'arrangea de façon à l'éclabousser avec ses draps mouillés,
et elle le regarda effrontément, en riant.
Rolland, J.-Chr., Révolte, 1907
jeudi 11 décembre 2008
mercredi 10 décembre 2008
mardi 9 décembre 2008
Vers Paris sont repartis...
L'heure de la séparation était venue.
L'équipage et les passagers se tenaient sur le pont.
Plus d'un se sentait l'âme serrée.
Verne, Enf. cap. Grant, t. 3, 1868
lundi 8 décembre 2008
Dernière ripaille...
.. je sais combien il est souvent difficile
de trouver un parfait maître queux.
Ce sont de véritables agapes auxquelles vous nous avez conviés là.
M. Proust, À la recherche du temps perdu, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, 1918
dimanche 7 décembre 2008
samedi 6 décembre 2008
vendredi 5 décembre 2008
Le retour dans la cité...
On distinguait facilement la masse confuse de grands arbres,
dont l'agglomération se prolongeait au delà des limites du regard.
J. Verne, L'Île mystérieuse, 1874
jeudi 4 décembre 2008
mercredi 3 décembre 2008
mardi 2 décembre 2008
lundi 1 décembre 2008
La chair tiède de l'automne...
La chaleur ambrée et plus recueillie de l'arrière-automne,
comme une exsudation délicieuse de la terre,
était à celle de l'été comme à sa peau brûlante
la chair tiède d'un fruit où l'on mord.
Gracq, Le Rivage des Syrtes, 1951.